Récit d’entreprise : qui va lire ça ?

 

La question est volontairement provoc’. Pour inciter les gens à cliquer sur le lien, gagner par la même occasion en visibilité sur le net tout en faisant plaisir à l’ami Google ? Pas tellement. Mais si la malice non désirée fonctionne, tant mieux. Pourquoi cette interrogation alors ? Car elle arrive encore parfois à nos oreilles. Avec bon nombre d’hypothèses ou prétendues vérités sur les pratiques des temps modernes : « Plus personne ne lit maintenant », « Les gens veulent du rapide, du concret, c’est l’heure des réseaux », « Mais qui va vouloir se coltiner des centaines de pages sur l’histoire d’une entreprise ? », « Qui cela va intéresser au final ? Deux, trois personnes tout au plus, les dirigeants de l’entreprise concernée et après ? ». Stop ou encore ? STOP.

 

Nos récits de vie ou biographies au format beau livre ou journal sur-mesure offert à l’ensemble de la famille ont trouvé leur public. Entre rires et larmes, chaque ligne transpire le souvenir vécu et la transmission éternelle, rendant l’œuvre imprimé en plusieurs tirages aussi précieuse qu’un oasis dans le désert. Nos récits de mariage créés en 2017 ont surpris. Au départ… Avant de se faufiler année après année style de rien au milieu des drones, appareils photos et caméras. Non, le film et le cliché n’ont pas le monopole du cœur des mariés. L’écrit à la sauce reportage séduit, chamboule les traditions et élargit le choix des prestations.

 

Récit d’entreprise ? Même combat. Alors oui un spot publicitaire d’une minute et vingt secondes sur l’histoire d’une entreprise, joliment mis en scène, écrit soigneusement et diffusé sur les réseaux ou sur une télé nationale, ça en jette. Mais partant du principe que nos récits d’entreprise sont parfaitement complémentaires de n’importe quel visuel ou réalisation sonore, autant y aller à fond non ? Récit d’entreprise.

 

Qui va lire ça ? Voilà cinq bonnes raisons (minimum) pour ne plus jamais prononcer ces quatre mots à la suite.

 

1) Le dirigeant ou la dirigeante. Le directeur ou directrice de la marque. La ou le responsable marketing mis(e) dans la boucle depuis le début du projet. Ajoutons leurs familles respectives et on atteint au moins une grosse dizaine de personnes qui auront un précieux livre d’entreprise au bout des doigts, c’est déjà pas mal non ?

 

2) Plus sérieusement, un récit d’entreprise par Scribeuse est le récit d’une vie, l’œuvre d’un collectif, un objet littéraire précieux voué à traverser les décennies et les générations successives de dirigeants. Tout le monde est concerné par ce projet écrit. Tout le monde participe à sa réalisation. Tout le monde prend part aux interviews. Pas uniquement le patron, les membres du comité de direction ou ceux et celles possédant un grand bureau. Chez Scribeuse, on n’écrit pas seulement l’entreprise et son histoire en quelques dates. On écrit la vie de l’entreprise. Passée, actuelle et future. Une immersion qui ratisse large et englobe des dizaines de salariés, collaborateurs, partenaires et clients historiques. Et non sans émotions. Pour certaines équipes, c’est une grande première. Jamais on ne les avait interviewées. Il y a donc des bégaiements, des hésitations, l’indémodable « Vous êtes sûrs que mon témoignage est intéressant ? » Puis finalement, le bonheur, la fierté même d’apercevoir ses mots et sa trogne édités dans un bouquin. Qui va lire ça du coup ? Beaucoup de monde.

 

3) Une nouvelle recrue débarque en CDI ? Un alternant arrive dans votre entreprise en juillet ? Et pourquoi pas leur offrir ce beau récit d’entreprise sur-mesure, unique, original, racontant sur des centaines de pages l’histoire de votre entreprise ? Pour accompagner la réussite de leur intégration. Pour savoir vraiment où ils mettent les pieds. Pour découvrir l’histoire de leur nouvel employeur dans ses grandes largesses. Pour apprendre des choses, beaucoup de choses. Les anecdotes les plus folles et les confidences les plus émouvantes. Les témoignages passionnés et les moments cruciaux et charnières. Les instants de doute et les célébrations mythiques. Son développement et ses évolutions. Le tout à hauteur d’hommes et de femmes. L’entreprise racontée par l’humain.

 

4) Offrir un écrit d’entreprise livré dans un ouvrage d’exception en mode communication externe, ça n’a pas de prix (question de parler). Mais oui, tout de même, ça n’a pas de prix si l'on imagine les répercussions engendrées. Car imprimer le bel exemplaire (mis en page par notre directrice artistique, embelli si vous le désirez de portraits réalisés par l’une de nos illustratrices, avec un titre calligraphié à la plume et une finition artisanale des plus précieuses…) et l’offrir à votre client ou partenaire historique qui vous est fidèle depuis des décennies, ça marque les esprits tout en solidifiant les liens. Un merci plus tard et le livre passe de mains en mains, séduit à droite, intrigue à gauche, fait parler dans tous les sens et à toutes les saisons. La meilleure publicité possible ? En toute objectivité, oui. En toute modestie, essayez-le et jugez.

 

4) La transmission se profile. Comme vous l’avez déjà vécue il y a deux décennies, de vos parents à vous. Aujourd’hui, votre fille s’apprête à embrasser la présidence de l’entreprise. Un sacré challenge en ligne de mire. Une envie de renouveau dans les mirettes. Et le poids d’un passé glorieux, lourdement harnaché en bandoulière. Et si, pour lui faciliter la tâche, notre plume s’immisçait dans l’aventure ? Ecrire pour ne pas oublier, certes. Mais surtout, écrire pour relativiser. Ne pas nier que ce qui a été accompli soit honorable mais assumer un style différent, des objectifs nouveaux. Une fois que le passé sera écrit, il sera plus facile de s’y référer en cas de perte de repère. Il sera plus facile de s’y replonger, pour se féliciter des avancées. Le fameux : comprendre d’où l’on vient pour savoir où l’on va. Vous transmettez votre entreprise ? N’omettez pas de raconter son histoire.

 

5) Récit d’entreprise. Qui va lire ça ? Au final, des dizaines, des centaines voire des milliers d’individus selon le nombre de livres sortis des presses. Alors oui, peut-être que seulement un quart des lecteurs, lectrices iront au bout de l’ouvrage contrairement aux dirigeants, dirigeantes qui passent commande chez Scribeuse sans oublier leurs familles respectives qui vont dévorer chaque ligne de fond en comble et plutôt deux fois qu’une. Et alors ? L’essentiel est ailleurs. Picorer l’information où elle vous intéresse. Se plonger dans une interview page 52 du représentant de la deuxième génération d’entrepreneur avant de refermer le bouquin. Le ré-ouvrir le lendemain et se prendre de passion pour le développement fou à l’international de la société dans les années 1980 avant de se plonger dans le témoignage de Mireille, collaboratrice aux quarante-cinq années d’ancienneté nous racontant son avant et son présent. Chaque récit d’entreprise écrit par Scribeuse est une aventure journalistique-littéraire à part. On s’y perd mais tout le monde s’y retrouve. Qui va lire ça ? Tout le monde car notre écriture reste accessible au commun des mortels. Grands et petits. Nul besoin d’ouvrir le dictionnaire pour comprendre la signification d’une phrase. Chez Scribeuse, on ne se prend pas pour Baudelaire, on fait du Scribeuse et c’est déjà pas mal. Des récits d’exception, uniques, immortels pour raconter et transmettre votre histoire dans un ouvrage d’art.

 

Qui dit mieux ? Colette peut-être : « Il faut avec les mots de tout le monde écrire comme personne. »